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L’essor des échanges :
Les succès du libéralisme : la fin du bloc communiste (1989-1991 à la parenthèse ouvrent de nouveaux espaces au flux de marchandises et de capitaux. En outre, les droits de douane sont encore réduits grâce à l’OMC. 20 % de la production mondiale de biens et de services sont ainsi exportés contre 8 % en 1960.
Un monde qui rétrécit : la tentation de la taille des navires, la spécialisation (pétrolier, porte-conteneurs, etc.) et de climatisation des ports rendre moins coûteux et plus rapide le transport de marchandises. L'essor du trafic aérien facilite les voyages internationaux. Avec Internet, le prix des transferts de données est négligeable et les flux financiers en sont rendus plus aisés. La restructuration de l'économie mondiale :
Une plus forte mondialisation : les multinationales organisent désormais leur activité à l'échelle planétaire selon le marché qu'elles veulent conquérir et capacités technologiques et les coûts de production d'une région. Les produits sont conçus dans les laboratoires d'un pays tandis que la fabrication des pièces détachées et l'assemblage final s’effectuent dans d'autres états. De nouvelles puissances : certains pays pauvres s'attiraient les firmes des pays développés cherchant une main-d'oeuvre peu coûteuse ou un marché prometteur. Puis, grâce aux transferts de technologie, ils ont développé une industrie nationale aujourd'hui capable de concurrencer celle des pays riches. L'Inde, le Brésil et la Chine sont ainsi devenus des géants économiques, membre du G20. Une mondialisation incomplète : le protectionnisme n'a pas disparu et le système monétaire international qui félicite et les échanges existent plus. Les pays commercent surtout entre voisins, souvent dans le cadre d'accords régionaux de libre-échange. En 2009, la part du commerce régional dans les échanges mondiaux était de 50 % contre 38 % en 1928. Pour le reste la concurrence entre trois espaces autonomes qui animent une économie multipolaire. Trois pôles majeurs :
L’Amérique du Nord : les États-Unis sont la puissance dominante de cette zone grâce à leur avantage technologique et alors riche marché Intérieur. L'Alena à renforcer ses liens avec des États-Unis avec le Mexique et le Canada. En 2009, ces deux pays ont absorbé plus de cent 40 % des exportations américaines et vendues plus de 75 % de leur produit à leurs voisins. Ce commerce souvent le fait de firmes États-Unis ne installé près des frontières au Mexique ou au Canada.
L'Europe : elle les moins dépendant des États-Unis contre 1945 et 1970. L'union européenne réunit la majorité des états européens. Depuis 2007,27 pays coopèrent dans le cadre d'un marché unique et certains ont une monnaie commune, l'euro. L'union européenne et l'espace qui produit le plus de richesses avec 28,4 % du PIB mondial. Elle participe activement aux échanges mondiaux, mais les flux intérieurs de la zone sont les plus intenses. Asie Pacifique : c'est la zone la plus dynamique du monde. Elle est le second pôle commercial du globe appel après l'Europe. Les pays d'Asie Pacifique commercent d'abord entre eux. Mais aucune organisation économique unie encore toute la zone. Dans les années 1980-1990, les investisseurs japonais ont été un des moteurs de l'industrialisation de la de l'Asie orientale, alors peu peuplé. Aujourd'hui, c'est la Chine, géants démographiques et ce qu'on puissance économique mondiale en 2010, qui en est l'acteur majeur. Les régimes totalitaires dans l'entre-deux-guerres Retour sur :
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