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L'économie monde britannique : (1850-1914)Les fondements de la puissance britannique : la supériorité industrielle. À la fin du XVIIIe siècle, le Royaume-Uni commence sa révolution industrielle et sa croissance n'est pas freinée par les guerres qui ravagent le continent de 1760 92 à 1815. La 1850, le niveau de vie des Britanniques et le plus élevé du monde, leur industrie, surtout dans le textile et la sidérurgie, et la plus productive et la plus savante. La mécanisation et le faible coût du charbon extrait des gisements anglais compensent les salaires élevés. Le choix de la mondialisation. Pour tirer profit de son avance sur les ses concurrents, le Royaume-Uni adopte le libre-échange (libre circulation des biens et des services entre les pays après abolition de toutes les restrictions imposées par les états) en 1846. Il favorise ainsi ses exportations en multipliant les accords de libre-échange, comme avec la France en 1860. La Royal Navy, première marine militaire du monde, protège zéro de commerciale. C'est que les colonies fournissent des bases de ravitaillement dans toutes les mères. La maîtrise de l'information est rassurée par un réseau la télégraphie intercontinentale et la présence dans toutes les grandes places commerciales de société britannique. Un monde sous influence britannique :
Le contrôle des marchés : l'économie monde britannique repose sur une division internationale du travail. Le Royaume-Uni importe des matières premières et exporter des produits industriels à forte valeur ajoutée. Le pays joue aussi le rôle d'entrepôts de redistribution : il achète la laine argentine qu'il revendique française, où il importe et vend le thé des Indes. Sa marine marchande contrôle alors 60 % du trafic mondial. En outre, les riches banques londoniennes prêtes aux états étrangers et finances de chemin de fer sur toute la planète. La livre sterling et la monnaie des paiements internationaux. Ces liens privilégiés avec le monde anglo-saxon. 60 % des exportations du Royaume-Uni 70 % de ses investisseurs à l'étranger se dirigeaient vers les pays anglophones : États-Unis et colonie britanniques (Canada, Australie, etc.). Europe occidentale vient ensuite. Les liens avec l'Amérique latine et l'Asie orientale ne cesse de se renforcer. En 1860, une intervention armée oblige ainsi la Chine à ouvrir son main son marché. Cette structure des échanges explique l'importance des routes maritime de l'Atlantique Nord et l'Extrême-Orient. Londres s'empare de les sites en 1882 pour contrôler le canal de Suez ouvert en 1869. Un lent déclinUne concurrence menaçante : la croissance britannique est à son apogée de 1850 à 1873, puis elle ralentit lors de la grande dépression (1873-1896) et les retrouve pas son dynamisme antérieur. Le protectionnisme s'est développé ; l'Allemagne et les États-Unis, désarmé industrialisé, concurrence du Royaume-Uni. En effet, ces entreprises perdent de leur contrat activités, à cause de salaires plus élevés et d'une réticence à investir dans les technologies de la deuxième révolution industrielle.
Un lent déclin : en 1913, le Royaume-Uni n'est plus la première puissance industrielle du monde. Son empire comme commerciale et financière reste incontestable : 55 % des marchandises importées par les États-Unis sont transportés par des navires britanniques et 45 % des capitaux investis à l'étranger viennent du Royaume-Uni. Secteurs, les États-Unis ne le dépassent seulement après 1914. En savoir plus ?
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